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Loïc Naessens est un aventurier qui parcourt le monde avec un appareil photo en bandoulière. Il a récemment pu tester Qaou lors d'un périple à travers l'Europe à la découverte des Dolomites. Rencontre avec un passionné d'endroits insolites et de belles lumières.

Quel a été le déclic qui t’a lancé en photo ?

 

J’ai réellement commencé la photo il y a trois ans lors d’un périple de 4 mois au Canada. Cela faisait longtemps que je voulais faire la photo mais je n’avais jamais trouvé l’inspiration. J’habite en Belgique et question nature/paysages c’est pas exotique… Ce voyage m’a ouvert les yeux et depuis je pense que tous mes voyages s’orientent autour de la photo.

Quand je suis rentré chez moi, le centre culturel de ma ville m’a proposé une l’exposition. Là, j’ai eu un deuxième déclic :  j’ai réalisé que je pouvais en faire mon travail. J’ai donc poussé un peu plus l’aventure. J’ai ouvert un compte Instagram, j’ai rencontré beaucoup d’autres photographes et je me suis lancé.  Depuis j’ai fait pas mal de collaboration avec des entreprises comme avec des marques de fringues. J’ai  également collaborer avec Canon, j’ai donné du contenu pour le Routard, pour Lonely Planet…

Quel a été ton plus beau cliché ?

Il n’y en pas un mais vraiment beaucoup qui me viennent en tête. Un beau cliché c’est un peu une question de chance. Quand je pars faire en expédition shooting sur je me renseigne énormément à l’avance sur le lieu et les conditions dans lesquelles je vais arriver. Mais on sait jamais vraiment à quel imprévu on va être confronté. C’est justement ces imprévus, cette lumière que l’on a pas prévu, qui vont contribuer à la magie du cliché. Pour moi un beau cliché c’est aussi un instant que l’on a pu partager avec quelqu’un, quand il y a une belle histoire à raconter derrière.

Ton cliché le plus difficile à réaliser ?

 

C’est une photo où je suis resté plusieurs jours sur place pour attendre la bonne lumière. Pour bien comprendre cette histoire, il faut savoir que j’ai le vertige.   Pour réaliser ce cliché de phare du bout du monde en Nouvelle-Zélande, je me suis forcé à escalader une falaise et longer une crête.
Je me suis levé tous les jours très tôt le matin pour faire cette route (il n’y avait pas de spot où dormir) en espérant que la bonne lumière soit au rendez-vous.  Il m’a fallu attendre 3 jours pour que la magie opère… J’ai  vraiment combattu ma peur du vide pour y arriver mais quand on parvient à dépasser ses peurs pour faire le cliché espéré, c’est vraiment une joie immense.

Tu reviens d’une aventure collective où tu as pu embarquer un Qaou, est ce que tu pourrais nous la présenter ?

 

 

Lors d’un bivouac en Ardèche, des amis photographes m’ont expliqué avoir démarché l’entreprise Blacksheep afin de se faire prêter un van pour découvrir les Dolomites. Je me suis greffé au projet et on a embarqué à 6 pour deux semaines de road-trip.

Le but était de traverser les Alpes européennes à travers plusieurs pays avec comme point d’orgue la découverte des Dolomites. Ce fut une très belle aventure à une période de l’année où les couleurs sont incroyables. Le fait d’être entre photographes et de partager une passion commune, ça nous a tous pousser vers le haut, avec beaucoup de créativité inspirée des uns et des autres.
C’était une aventure très intense et très enrichissante. J’aimerai vraiment la refaire pour explorer ce que l’on a pas eu le temps de voir, voire pousser un peu plus loin en Autriche et du côté de la Slovénie avec moins de road-trip et plus de bivouac en pleine nature.

Si tu devais repartir à l’aventure avec Qaou ce serait où ?

 

 

Quand on fait de la photo, on est toujours un peu dans le rush, à courir dans tous les sens pour les bons spots, les belles lumières et du coup le concept de Qaou est vraiment intéressant pour vivre l’aventure plus intensément.

Là comme ça je pense à l’île de Vancouver au Canada. C’est un endroit magique où tu trouves des lacs, des forêts, des rivières, avec tout ce qu’il faut pour utiliser Qaou à 100%.

Un autre spot à recommander à nos aventuriers amateurs de bivouac ?

 

 

Sans hésiter : l’Ecosse! C’est un endroit dépaysant, un peu similaire à l’Islande avec des terres très particulières et sauvages vraiment magnifiques. Depuis Glasgow, en quelques heures on se retrouve dans les Highlands. Je recommande particulièrement l’île de Skye. C’est une référence incroyable pour aller randonner autour de lacs et dénicher des spots incroyables. Je recommande à tous les amateurs d’aller au moins une fois là bas, on trouve des bivouacs pour tous les niveaux. Il suffit de marcher 30 minutes pour se retrouver au milieu de nulle part. Les conditions météo sont parfois un peu rudes mais elles donnent une saveur toute particulière à l’aventure.

 

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